Nous sommes au seuil de l’année 2017, c’est donc toujours l’heure de faire le compte rendu sur les ratés de l’année 2016, une année riche en « Bad Buzz » ou crises numériques. Dans une étude annuelle publiée par Nicolas Vanderbiest avec l’aide du logiciel de veille des médias en ligne, Visibrain, nous revenons sur les mésaventures des marques de l’année passée. Cette étude fait état des phénomènes de crises (Bad Buzz) en ligne qui ont touché la réputation des marques en 2016.
Quand on parle crises ou scandales, il est important de préciser qu’elles peuvent être aussi bien à l’origine off ou online. A notre époque cela importe peu car leur diffusion se fera dans la grande majorité des cas sera en ligne. S’il fallait citer deux des plus gros scandales de l’année 2016, je dirais sans hésitation Samsung et Volkswagen. Le premier avec les multiples cas de batteries explosives sur son Note 7 qui d’ailleurs a été retiré de la vente avec le rappel de tous les unités vendues. Le deuxième a vu sa réputation sérieusement touchée avec l’histoire de ses moteurs truqués.
Vous remarquerez que bien ces deux scandales ont une origine offline mais se sont largement diffusés par le biais d’Internet et surtout des réseaux sociaux et YouTube, relayés largement par les médias eux-mêmes.
Quick n’a pas non plus été épargné lorsqu’en avril 2016 une cliente trouve une tête de poulet dans ses Chicken Wings. Celle-ci publie la vidéo sur YouTube est vue plus de 480 000 fois. Comme si ce n’était pas suffisant deux mois plus tard, une personne malvoyante s’est vue refuser l’entrée du Quick de Saint-Lazare à Paris, car elle n’a pas le droit d’entrer avec son chien guide. Son indignation partagée sur Facebook devient elle aussi virale avec plus de 125 000 partages.
>> Lire l’article complet sur les pire Bad Buzz 2016 via Le Journal du Numérique